SOMMAIRE
-Avant-propos, Par Badia Mazboudi
Représentation de l’espace/ temps de la cellule du prisonnier politique à travers les récits de vie et les bandes dessinées: Le cas des année de plomb au Maroc, par Mohamad BAHI.
-Les enjeux du dédoublement dans l’écriture carcérale de Nay Manassa, par Carmen BOUSTANI.
-“Pense, Classer.. ou les difficultés de définition d’un corpus hétérogène: le cas de la littérature carcérale marocaine>, par Jeanne FOUET-FAUVERNIER.
-L’invariance spatiotemporelle de l’univers tortionnaire, par Smaiil Hadjali.
-Prison de femmes ou femmes en prison dans les romans de Fadia Faqir, par Jacqueline JONDOT.
-Ecriture de la mort ou écriture de la vie? par Najet Liman-TNANI
-<Ce que existe pas insiste pour exister>. La Poésie salvatrice de Mahmoud Darwich, par Rima MAWLOUD.
-La littérature carcérale, une écriture contre l’oubli, par Badia Mazboudi.
-La prisonnière de l’oubli, par Marie-Ange NOHRA-Merhi.
-Perte carcérale et reconstitution mémorielle dans la Gamelle et le couffin de Fathi Ben Haj Yahia, par Sonia MHIRI.
-Sommes-nous tous des tortionnaire en puissance? et quels sont nos moyens de lutte? par Randa NABBOUT CHALLITA.
-<Clairière inespérée>, la mémoire nomade et la dignité: absent de Bagdad de Jean-Claude Pirotte, par Marc QUGHEBEUR.
-De la réalité à fiction: le bagne dans la fille du gobernator, par Pier Luigi PINELLI.
-Sur les traces de l’écriture carcérale ou la quête d’une voie à travers les vois dans le village de l’allemand ou le journal des frères Schiller de Boualem Sansal, par latifa SARI MOHAMMED.
-Témoignage de Soha BÉCHARA.
Hommage à Jean-Claude Pirotte(1939-2014), Par Marc QUAGHEBEUR.